Kampala : Njami reste aux commandes

Noor Okulu (Studio Aida Muluneh). Courtesy Kampala Art Biennale.

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Après avoir mené la Biennale de Kampala en 2018, le curateur camerounais rempile avec une édition intitulée « Get up Stand up », référence assumée à la célèbre chanson de Bob Marley. Le principe curatorial initié il y a deux ans reste le même : inviter des artistes internationaux qui font autorité au sein de leur discipline. Pendant dix jours, entre février et juin, ils ouvriront leur atelier, au cœur de la capitale ougandaise, à de jeunes artistes sélectionnés par appel à candidatures. « Avec l’aide de leurs maîtres, les étudiants seront invités à inventer une langue qui leur soit propre, une langue qui leur permette de se battre pour leurs croyances et leurs idées», explique Simon Njami qui a notamment convié la performeuse sud-africaine Tracey Rose, son compatriote le photographe Andrew Tsabangu ou encore la vidéaste suisse Laurence Bonvin. Restitution le 26 août.