Mounir Fatmi présente deux oeuvres dans deux lieux à Casablanca à la rentrée 2013.
Le voyage de Levi-Strauss à l'Institut de Casablanca et La ligne droite à la Galerie Fatma Jellal.
"Quand j’expose en France, je suis un artiste d’origine marocaine, dans les pays arabes, ça change… ce qui est intéressant c’est ça, c’est qu’il y a toutes ces identités. Moi je prends tout, je n’en refuse aucune, et bien sûr il y a un côté international. Quand j’expose à Hong Kong, que je montre mon travail en Allemagne ou ailleurs, on ne voit plus le nom, on voit le travail, on voit l’œuvre avant tout. C’est la même chose pour mes collectionneurs. J’ai des collectionneurs allemands, asiatiques, arabes et américains, j’ai des œuvres dans plusieurs musées aux Etats Unis… Mais ça c’est un peu le fait de traiter des sujets universels… Yvon Lambert est un grand galeriste que je respecte énormément comme les artistes qui sont dans la galerie… Mais c’est un de mes galeristes, il y en a dix. Avec un galeriste, c’est une relation de couple ! Là avec Fatma Jellal, on commence une relation de couple, c’est toujours beaucoup d’émotion"
